30 janvier 2020

[Colloque] Quelle place voulons-nous donner aux écrans dans la vie de nos enfants ? Le Samedi 8 Février 2020 à Paris (16°)

Quelle place voulons-nous donner aux écrans dans la vie de nos enfants ?

  • Réfléchir sur les usages du numérique et des nouvelles technologies en classe
  • Développer son esprit critique par rapport à ces usages
  • Assurer une cohérence d’action au sein de la communauté éducative

SOMMAIRE

  1. Le programme détaillé du colloque
  2. Les actes du colloque
  3. L’appel de la Fondation sur le numérique à l ‘école
  4. Les vidéos des échanges
  5. Les photos des échanges
  6. Les intervenants
  7. Des initiatives pour nourrir la réflexion l’action


[1 – PROGRAMME DE LA JOURNÉE]

Téléchargez le programme (Impression R°V° à plier en 2)

9h30 – 9h40   Introduction par la Fondation pour l’école

9h40 – 10h45 TICE : historique et enjeux (Catherine Lucquiaud)

Rapide historique de l’informatique et survol des promesses technologiques éducatives variées qui se sont succédé (télévision, radio, magnétophone, magnétoscope, CDRom, etc), dont les différents plans numériques depuis 85 et les cours en ligne.

Rappel des impacts réels des technologies « virtuelles » : outils numériques et internet (environnementaux, sociaux, anthropologiques, économiques : intérêts financiers des EdTech).

Point sur les effets annoncés de la numérisation de l’enseignement, en faisant la distinction entre :

  • la numérisation des tâches administratives (qui permettrait entre autre : économie de papier, suivi parental, professionnalisation)
  • l’apport des dispositifs numériques dans les apprentissages scolaires (qui entraînerait, pour les professeurs : simplicité, gain de temps et d’efficacité, recentrage sur le coeur de métier ; pour les élèves : motivation, allègement du cartable, ressources multi-média, personnalisation de l’enseignement, autonomie, cours à distance)
  • l’acquisition par les élèves d’une familiarité d’usage des outils numériques en général, matériels et logiciels (lutte contre la fracture numérique, maîtrise de l’environnement numérique)
  • l’acquisition par les élèves de connaissances générales en informatique : concepts fondamentaux, algorithmique, programmation, … (attrait pour une science moderne, maîtrise de l’environnement numérique, employabilité future)

Il s’agit de dépasser les visions fantasmées, pour prendre conscience et tenir compte de l’ensemble des impacts réels, positifs et négatifs, afin de replacer les technologies numériques à leur juste place d’outils, et non de considérer le développement de leur utilisation comme un objectif en soi.

11h – 12h30   Impacts des écrans sur l’enfant et l’adolescent (Sabine Duflo)

(Focus sur les 3 – 15 ans)

Impacts des écrans utilisés par la mère, par l’entourage et par l’enfant lui-même.

Impacts direct du médium (l’écran, l’ordinateur, le logiciel) et du temps d’exposition, et impacts liés à l’accès de l’enfant, par ce médium, à des contenus inadaptés à son âge ou à sa sensibilité, le plus souvent en dehors de tout accompagnement.

Tout en ayant conscience du fait que l’accompagnement, même par des adultes avertis et bienveillants, n’offre aucune garantie suffisante d’innocuité, notamment pour certains types de contenus franchement délétères (scènes violentes ou pornographiques en particulier, sans exclusivité).

Rappel du fait qu’en toute chose, la mise en contact trop précoce n’a pas uniquement des effets positifs, même sur le long terme (autrement dit, que l’effet vaccin attendu n’est pas toujours au rendez-vous, s’accompagne parfois d’effets indésirables même lorsqu’il atteint son but, et qu’en tout état de cause, il nécessite des précautions très strictes).

14h – 15h30   Quelle éducation, pour quelle société future ? (Robin Galhac)

Il est important de recentrer le débat sur le numérique éducatif en rappelant le rôle premier de l’action éducative : préparer les enfants, futurs adultes, à constituer la société de demain. D’où la nécessité, avant d’essayer de déterminer quels dispositifs éducatifs nous semblent les plus pertinents, de définir au préalable la société que nous souhaitons bâtir pour nos enfants. Vraisemblablement une société au sein de laquelle chacun, avec ses spécificités, puisse trouver une place décente et s’y épanouir humainement.

Se contenter d’extrapoler à partir des tendances technologiques actuellement perçues sous le prétexte de « préparer nos enfants à la société de demain » n’est ni suffisant, ni satisfaisant, ni digne du libre arbitre dont nous bénéficions.

D’une part parce que l’extrapolation est un exercice hautement périlleux, d’autre part parce que la société contemporaine est largement imparfaite, enfin parce que c’est notre capacité à penser et agir même à contre-courant qui fait précisément notre liberté. Mais comme le déplorait déjà Bernanos en 45 (La France contre les robots), l’exercice de la liberté n’est pas si facile et notre capacité à l’exercer est soumise à l’érosion conjoncturelle… C’est d’autant plus vrai dans nos sociétés de marketing généralisé où tout appelle à la facilité, à l’immédiateté, à la nouveauté, et finalement, même si elles s’en défendent, à une manière d’extrême conformité. L’enracinement (historique, culturel, familial) est pourtant indispensable pour nourrir l’épanouissement de chacun, et la diversité harmonieuse des êtres et de leurs aspirations fait la vraie richesse de toute société.

A rebours des discours idéologiques ou publicitaires ambiants, il nous faut donc faire l’effort d’identifier, parmi les méthodes et les dispositifs à visées éducatives, lesquels sont les plus à même d’accroître ou de restreindre le plein exercice éclairé de leur liberté par nos enfants devenus adultes, et de discerner les risques et les aubaines de notre temps.

15h45 – 18h   Actions concrètes et perspectives (tables rondes animées par la Fondation pour  l’école et l’ILFM)

Comment favoriser un environnement qui permette de répondre à la diversité des choix éducatifs humanistes, en assurant la cohérence d’actions indispensable entre milieu familial et milieu scolaire ?

  • 15h45 – 16h Spécificités et rôle des écoles indépendantes dans ce contexte
  • 16h – 17h30 Présentation de différentes initiatives pour nous préserver et préserver nos enfants d’un usage aveugle des technologies numériques
    • Au sein des établissements scolaires (le Cours Clovis du réseau Espérance Ruralités, l’école Les Collines Bleues, l’Appel de Beauchastel, La vie moderne, …), avec les témoignages de Pierre-François Chanu et Jean-Pierre Picandet.
    • Au delà : exemples d’associations de sensibilisation et d’accompagnement sur la place à donner aux outils numériques dans nos vies en général (Chevaliers du web, Lève les yeux, CoSE, Ecran Total, AFCIA, Parents Unis contre les smartphones avant 15 ans, …), avec Marie-Alix Le Roy et Cédric Sauviat.
  • 17h30 – 18h Focus sur Screenpeace par Sophie Legrand et Mylène Pereira.

18h – 18h30   Conclusion de la journée (Catherine Lucquiaud)

Il apparaît aujourd’hui plus que jamais nécessaire de (re)trouver un équilibre entre outils technologiques et outils « conviviaux » (au sens d’Illich), entre la place donnée aux sciences et celle donnée aux humanités dans l’éducation, entre objectivité et  subjectivité, entre accès à l’information et savoir incarné, entre fin et moyens. Et de prendre conscience de l’importance du maintien du facteur humain dans toute entreprise ou structure éducative (relations humaines et taille humaine).

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[2- Les Actes du Colloque]

Téléchargez les actes du colloque (2 pages impression R°V° à plier en 2)

Le numérique omniprésent et utile au quotidien

  • Avec un écran et une connexion à Internet, tout est accessible immédiatement et simplement, de partout : famille, amis, culture, divertissements, informations, services.
  • Absolument tout : du vrai, du faux, du merveilleux, de l’affreux, de l’utile, de l’inutile, du drôle, du sérieux, de l’humain, de l’inhumain.
  • L’écran connecté est une fenêtre sur le monde. Mais si le volet peut être ouvert ou fermé à notre guise, la fenêtre reste en revanche hermétiquement fermée : elle nous laisse seulement voir ce que quelqu’un a poussé devant elle, et interagir par son intermédiaire ;
  • Quelqu’un que nous ne connaissons pas et dont nous n’avons aucun moyen de connaître les compétences réelles et les véritables motivations.
  • En une décennie, notre usage du numérique a beaucoup évolué jusqu’à envahir notre vie et celle de nos enfants.

Les impacts d’une exposition précoce ou excessive aux écrans

  • Les écrans génèrent un phénomène d’addiction et sont directement à l’origine de perturbations sévères de l’attachement, de l’attention et des apprentissages futurs.
  • Depuis 2010 (apparition des tablettes après les smartphones en 2007), les troubles intellectuels et cognitifs ont progressé de 24%, les troubles psychiques de 54%, les troubles de la parole et du langage de 94% chez les enfants scolarisés (source Depp 2018).
  • Des études scientifiques ont montré qu’à tout âge, la médiation d’un écran dégrade la réception et le traitement par le cerveau des informations de toutes natures.
  • Inversement, supprimer totalement les écrans n’a aucun effet négatif sur le développement et les apprentissages.

La dépendance aux algorithmes et à l’intelligence artificielle

  • L’interface d’un logiciel, classique ou basé sur l’intelligence artificielle, n’est que la partie émergée de l’iceberg : l’usager, même expert informatique, ne peut avoir qu’une maîtrise partielle des outils numériques mis à sa disposition.
  • La multiplication des outils numériques et leur interconnexion par les réseaux, dont Internet, augmente la complexité, la perte de maîtrise, le transfert aveugle de contrôle.
  • Même en apprenant le codage informatique aux élèves, les plonger dans un environnement tout numérique ne leur en assure en aucun cas la maîtrise mais détruit au contraire leur autonomie future.

L’empreinte écologique et sociale du numérique

  • En 2019, le secteur numérique représentait 10% de la consommation électrique mondiale annuelle et 4% de la production de gaz à effet de serre. Ces chiffres sont en augmentation rapide et constante.
  • La seule fabrication d’un ordinateur de 2kg nécessite 800kg de matières premières et génère 124kg de CO2.
  • La production de déchets électroniques hautement polluants ne fait que croître (52 millions de tonnes prévus pour 2021) avec un taux de recyclage structurellement très faible (de l’ordre de 15%).
  • Les ordinateurs, tablettes et smartphones sont essentiellement fabriqués et recyclés dans des pays à faible coût de main d’œuvre, dans des conditions sanitaires et sociales humainement inacceptables.

Les enjeux de l’éducation

  • Le rôle premier de l’action éducative est de préparer les enfants, futurs adultes, à constituer la société de demain.
  • Nul ne peut prévoir avec certitude ce que sera la société de demain : faire aujourd’hui le pari d’une société future massivement numérisée n’est pas plus raisonnable que de faire le pari inverse d’une société de sobriété généralisée. Il nous appartient en revanche de choisir la direction que nous souhaitons privilégier pour nos enfants.
  • Des intérêts financiers considérables poussent les entreprises du numérique (EdTech, GAFAM, BATX) à investir toujours davantage le secteur de l’éducation, sans aucun bénéfice réel constaté sur les apprentissages.
  • La qualité des interactions au travers de vraies relations humaines parents/enfants et professeurs/élèves reste le meilleur facteur de progression dans tous les domaines.
  • Seuls, nous ne pouvons rien faire : la pression de la société est trop forte et « il faut tout un village pour éduquer un enfant ». Les écoles indépendantes offrent la possibilité d’un cadre cohérent d’éducation pour aider les parents à « élever » leurs enfants.

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[3 – Numérique à l’école :
l’appel de la Fondation pour l’école]

  1. La Fondation pour l’école appelle chaque établissement scolaire indépendant à mener une réflexion approfondie sur la place qu’il souhaite donner aux nouvelles technologies.
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  2. La Fondation pour l’école incite chaque établissement scolaire indépendant à s’appuyer sur la liberté dont il dispose pour définir clairement son positionnement en matière de numérique, et ainsi favoriser la cohérence d’actions indispensable entre milieu scolaire et milieu familial.
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  3. L’intérêt général immédiat et à long terme des enfants et des adolescents doit primer sur toute autre considération financière, idéologique ou électorale.
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  4. La place à donner au numérique dans l’action éducative peut varier en fonction des situations et des choix de chacun (parents, professeurs, éducateurs) dès lors que ces choix sont éclairés et librement consentis.
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  5. Des choix éclairés nécessitent l’accès à l’ensemble des informations disponibles et la libre organisation de débats contradictoires ouverts, hors conflits d’intérêt, donc hors lobbies industriels et financiers quels qu’ils soient.
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La Fondation pour l’école se tient à votre disposition si vous souhaitez organiser des réunions d’information et de sensibilisation tous publics sur la place et les enjeux du numérique (parents, enfants, équipes éducatives, responsables locaux, etc). Email : [email protected]

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[4 – Les Vidéos du Colloque]

     

     

     
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[5 – Quelques photos du Jour J]

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[6 – LES INTERVENANTS]

Sabine Duflo

Psychologue clinicienne, formée à la psychanalyse et à la thérapie familiale systémique, Sabine Duflo travaille auprès des enfants et de leurs familles au sein d’un centre médico-psychologique et dans une consultation pour enfants à haut potentiel intellectuel. Membre du collectif CoSE (Collectif Surexposition aux Ecrans), auteur et conférencière, elle a analysé et dénoncé les effets préoccupants directement induits par une utilisation excessive des écrans chez les enfants et les adolescents dans un livre publié en 2018 : « Quand les écrans deviennent neurotoxiques ».

Robin Galhac

Robin Galhac est professeur de philosophie à l’IPC (faculté libre de philosophie et de psychologie) et enseigne également à l’ILFM dans le cursus de formation des éducateurs. Il s’intéresse particulièrement à la philosophie de l’Homme, à travers des thèmes comme la fragilité, la tempérance, l’éducation, la finalité ou encore la liberté.

Catherine Lucquiaud

Docteur en informatique, ayant exercé successivement comme ingénieur puis comme enseignante (à l’université, en collège et en lycée), Catherine Lucquiaud dispose d’une bonne connaissance des secteurs publics/privés et de leurs interactions en matière d’innovations technologiques. Elle porte un regard critique sur la numérisation générale de la société, en étant particulièrement sensible à celle qui touche aujourd’hui le cadre scolaire.

Marie-Alix Le Roy

Mère de famille, directement confrontée aux dangers d’internet et à la pression sociale qui conduit à l’envahissement de notre quotidien par les écrans, Marie-Alix Le Roy est à l’initiative d’un groupe privé Facebook appelant les parents à se regrouper pour manifester leur opposition à un usage trop précoce des smartphones. Créé il y a seulement quelques mois, « Parents unis contre les smartphones avant 15 ans* » fédère aujourd’hui plus de 7500 inscrits et leur permet d’échanger partages d’expérience et conseils. (* limite indicative souvent suggérée par les psychologues, 15 ans est aussi l’âge de la majorité numérique en France)

Pierre-François Chanu

Titulaire d’un Master 2 et passionné d’histoire, Pierre-François Chanu a une double expérience de professeur et de directeur d’établissement scolaire. Après avoir enseigné pendant plusieurs années l’histoire, la géographie et l’éducation musicale, il dirige aujourd’hui le Cours Clovis, école pilote du réseau Espérance Ruralités qui s’attache notamment à travailler en étroite collaboration avec les parents d’élèves dans des zones socialement délaissées.

Jean-Pierre Picandet

Diplômé de l’école normale de Clermont-Ferrand en 1984 et ancien membre actif du GRIP, Jean- Pierre Picandet enseigne en CP et CM2 au sein d’une école publique équipée de TNI (tableaux numériques interactifs) et de tablettes pour les élèves. Utilisateur pragmatique et éclairé des outils numériques dans son quotidien, il pose un regard lucide sur les apports réels des nouvelles technologies pour les apprentissages.

Cédric Sauviat

Ingénieur et chef d’entreprise, diplômé de l’Ecole Polytechnique, Cédric Sauviat milite depuis plusieurs années pour l’ émergence d’un débat sur les conséquences de l’intelligence artificielle à travers l’AFCIA, une association qu’il a fondée en 2015. Il est l’auteur, avec Marie David, d’un livre présentant une analyse approfondie des réalités et des enjeux de l’IA, paru en 2019.

Sophie Legrand

Infirmière en réanimation, diplômée en anthropologie et titulaire d’un Master 2 en gestion de projets dans le secteur humanitaire et social, Sophie Legrand a choisi de s’orienter vers l’éducation de terrain. Au contact de familles en grandes difficultés, elle est fortement interpellée par les effets constatés d’une exposition non maîtrisée aux écrans. Avec plusieurs collègues, dont Mylène Pereira, elle fonde l’association Screenpeace en 2019, dans l’objectif de créer un centre de soins et d’accompagnement pour les enfants concernés et leurs familles.

Mylène Pereira

Bénévole dans différents associations depuis l’adolescence, Mylène Pereira a travaillé près de huit ans au sein de services stratégiques de grandes chaînes de télévision (marketing et programmation). Cette expérience lui a permis de prendre conscience de l’envers du décor médiatique et des enjeux de l’économie de l’attention. Elle travaille depuis 2018 sur la question de la surexposition aux écrans et s’est rendue notamment à l’étranger afin d’identifier les meilleures pratiques pour les adapter en France. Elle est membre fondatrice de l’association Screenpeace avec Sophie Legrand.

«Il ne suffit pas de changer le monde. Nous le changeons de toute façon. Il change même considérablement sans notre intervention. Nous devons aussi interpréter ce changement pour pouvoir le changer à son tour. Afin que le monde ne continue pas ainsi à changer sans nous.Et que nous ne nous retrouvions pas à la fin dans un monde sans hommes.»
Günther Anders

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[7 – Références complémentaires]

Des initiatives pour nourrir l’action

  • Screenpeace
    www.screenpeace.org
  • 4 pas pour mieux avancer
    www.sabineduflo.fr/vous-et-les-ecrans-conseils-pratiques/
  • Association Française contre l’Intelligence Artificielle
    www!,afcia-association.fr
  • Collectif Surexposition aux Ecrans
    www.surexpositionecrans.org/
  • Parents Unis contre les smartphones avant 15 ans
    www.facebook.fr (groupe privé)
  • Lève les yeux !
    www.levelesyeux.com
  • Les chevaliers du web
    www.chevaliersduweb.fr
  • La vie moderne
    www.laviemoderne.net
  • L’Appel de Beauchastel
    27 ter, rue des Terras 07800 Beauchastel
  • Ecran Total
    BP 8 – 3 et 5, rue Robert Judet 23260 Crocq
  • L’école des Collines Bleues
    www.les-collines-bleues.fr
  • Le cours Clovis – Espérance Ruralités
    www.esperanceruralites.org/cours-clovis-de-fere/

Pour approfondir la réflexion

  • Le bluff technologique (Jacques Ellul)
  • L’obsolescence de l’homme (Günther Anders)
  • La France contre les robots (Georges Bernanos)
  • La convivialité (Ivan Illich)
  • L’erreur de Descartes (Antonio Damasio)
  • Une folle solitude (Olivier Rey)
  • Le mythe de la culture numérique (Philippe Godard)
  • L’intelligence artificielle ou l’enjeu du siècle (Eric Sadin)

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Un commentaire
  1. Suggestion pour compléter la liste pour approfondir la réflexion, à mon sens, il manque la référence en la matière, à savoir les ouvrages du neuro-scientifique Michel Desmurget (La fabrique du crétin digital et TV Lobotomie)

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