Actualités

Dans un long reportage consacré à l’éducation par le magazine Valeurs Actuelles, Anne Coffinier revient sur les différentes missions de la Fondation pour l’école et les raisons pour lesquelles un soutien financier des écoles indépendantes est plus que jamais nécessaire.

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Donner pour préserver le passé… et préparer l’avenir

Paru dans Valeurs Actuelles le 2 juin 2018, par Marie de Greef-Madelin

Financer des écoles libres pour nos enfants, former des maîtres, faire du lobbyisme…: la Fondation pour l’école permet l’envol des établissements Montessori, d’Espérances Banlieues… À nous aussi de donner.

L’échec de l’Éducation nationale a quelque chose de préoccupant, tant le sentiment d’inadaptation de l’école aux besoins des enfants semble s’accroître. Pour la rentrée de septembre, plus de 230 projets d’écoles indépendantes, un record, ont été déposés à la Fondation pour l’école.

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Le Blog de Mediapart a donné la parole à Claude Lelièvre, historien de l’éducation, à propos des deux dernières réformes d’envergure annoncées par le Ministère de l’éducation nationale.

29 MARS 2018
PAR BLOG : HISTOIRE ET POLITIQUES SCOLAIRES

« Joyeuses Pâques: deux cadeaux historiques au privé !

Hier, « Libération » a titré le premier : « scolarisation obligatoire à trois ans : le cadeau discret de Macron au privé ». Mais il existe aussi un autre cadeau, non moins discret : la participation des établissements privés aux examens du baccalauréat via le « contrôle continu » à la sauce Blanquer.

Il aurait été possible d’avoir une  »vraie » simplification du baccalauréat en admettant l’intégration du  »vrai » contrôle continu (c’est à dire les évaluations habituelles faites en première et terminale) pour une part relativement importante de l’examen.

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Dans une tribune publiée dans l’Opinion, Anne Coffinier dénonce l’ambivalence du gouvernement et notamment de Jean-Michel Blanquer, sur la liberté et l’innovation à l’école alors qu’ils soutiennent une proposition de loi discutée au Sénat ce mercredi 21 février. Cette proposition de loi déposée par la sénatrice Françoise Gatel vise en effet à restreindre la liberté d’ouverture des écoles sans contrat avec l’Etat.

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Dans une chronique publiée par l’Opinion, Erwan Le Noan, auteur de la France des opportunités montre que la réforme de Jean-Michel Blanquer pourrait avoir des conséquences liberticides.

« La semaine passée a été celle du triomphe pour Jean-Michel Blanquer. La réforme du bac a été saluée, son émission de télévision un succès et Le Point l’a même intronisé « vice-président » ! Le ministre de l’Education nationale est plébiscité et les projets qu’il porte applaudis. Les défis restent toutefois immenses : les mesures annoncées, bienvenues, ne peuvent constituer qu’une toute première étape à une vraie réforme. Plus encore, s’il n’y prend garde, au lieu de libérer, le ministre pourrait

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Alors qu’une proposition de loi visant à restreindre la capacité d’ouverture des écoles hors contrat est étudiée au Sénat, Anne Coffinier signe une tribune ce lundi 12 février dans Le Figaro pour dénoncer le double discours du gouvernement.

« Très majoritairement non confessionnels – contrairement aux clichés -, ces établissements entièrement libres offrent une flexibilité pédagogique féconde dans le respect strict de la loi: ils peuvent expérimenter les langues et cultures régionales, les pédagogies (Montessori), le bilinguisme, le bac international ou l’approche éco-citoyenne. Ces écoles peuvent faire vivre des traditions d’exigence en optant pour un classicisme académique mettant la grammaire, le latin et le grec à l’honneur ; ou bien, par leur souplesse, permettre l’essor de filières sport-études ou encore ouvertes à une pratique intensive des arts. Ces écoles offrent à la société civile un espace d’engagement et coopèrent avec les familles sans crispation.

Si le privé hors contrat ne subissait pas les interdictions archaïques de financements publics, ces écoles pourraient apporter bien plus.

Tribune complète :

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Le Collectif Condorcet signe une tribune, ce mercredi 7 février, avec d’autres mouvements, pour plaider en faveur d’une meilleure prise en charge des élèves handicapés à l’école, quel que soit le statut juridique de l’école.

« Nous, acteurs de l’éducation, parents d’élèves, responsables associatifs ou simples particuliers, dénonçons le flou qui entoure aujourd’hui la situation des AVS et des AESH, et la différence de traitement pratiquée dans les différents établissements – en fonction de leur statut juridique – à l’endroit des élèves en situation de handicap.« 

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Dans un entretien accordé au Figarovox au sujet de la réforme du Baccalauréat, Anne Coffinier, directrice de la Fondation pour l’école, explique pourquoi les pistes envisagées par le ministère ne sont pas encore de taille à « sauver l’école ».

Retrouvez l’entretien ci-dessous et sur le site du Figarovox :

 

 

 

Jean-Michel Blanquer présentera en février une nouvelle réforme du baccalauréat, encore une ! Pensez-vous que cette fois-ci, ce puisse être la bonne ?

La disette budgétaire actuelle, l’épuisement des syndicats et des forces sociales qui auront du mal à mobiliser contre cette réforme, la démonétisation notoire du baccalauréat sont autant de facteurs propices pour faire passer cette réforme. Mais quant à savoir si cette métamorphose de l’institution du baccalauréat est conforme à l’intérêt des lycéens et de notre pays, c’est une tout autre affaire. Que le coup soit politiquement faisable, je le crois, qu’il soit académiquement utile, c’est peu probable.

On parle d’avancer les dates du baccalauréat, pour que les notes obtenues par les élèves soient prises en compte dans la sélection pour les études supérieures. Un tel système serait-il plus juste que celui actuel ?

On prétend s’intéresser au groupe classe avant tout, mais c’est en réalité aux dépens de chaque élève dans sa singularité.

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Entretien de Dominique Ottavi avec Anne Coffinier

A. C. – Dans un colloque organisé à l’automne à Monaco, aux côtés de la Fondation pour l’école, vous avez exposé l’idée qu’un certain scientisme était à l’oeuvre dans les « sciences de l’éducation » et qu’il avait conduit à un appauvrissement des idéaux éducatifs, les finalités ayant cessé d’être un sujet de réflexion. Pourriez-vous préciser ce point ?

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Jean-Philippe Delsol, avocat, et président de l’Institut de recherches économiques et fiscales (IREF), propose dans une courte réflexion sur la nécessité de libéraliser la collation des grades.

Un monopole hérité de la Révolution, puis de l’Empire, qui visait à garantir pour l’Etat l’absence de concurrence de l’Eglise dans la délivrance des diplômes universitaires. Aujourd’hui, l’enseignement supérieur français pâtit de ce verrou qui décourage les initiatives privées.

Pour retrouver la tribune de Jean-Philippe Delsol, rendez-vous sur le site de L’Opinion