Actualités

Nous avons eu hier, 3 janvier, un rendez-vous important au ministère de l’Éducation nationale.

Nous avons obtenu les avancées suivantes à propos du calendrier des épreuves : la DGESCO a donné des consignes claires aux rectorats, mais ceux-ci continueront d’avoir la main sur les dates pour des raisons évidentes d’organisation. Certains rectorats ont déjà modifié leur calendrier. Nos interlocuteurs sont conscients de certaines difficultés d’organisation des épreuves en 2022 et ont une vraie volonté de les régler. Il faut admettre qu’organiser des épreuves tout en maintenant le maximum de cours jusque fin juin est une gageure. Les lycées hors-contrat qui en auraient la capacité pourraient peut-être proposer leurs locaux pour que certaines épreuves du bac s’y tiennent. Sait-on jamais ?

Par ailleurs, ils ont promis d’examiner avec attention les sujets suivants : la dématérialisation du livret scolaire, l’uniformisation de la dénomination de nos élèves-candidats pour faire apparaître partout qu’ils sont bien scolarisés dans un établissement, la réduction de l’épreuve ponctuelle d’EMC à 20’ au lieu de 30’.

Nous avons soulevé d’autres points qu’ils n’envisagent pas de remettre en cause : les épreuves ponctuelles, dont fait partie l’épreuve de spécialité abandonnée en fin de Première, continueront d’être proposées selon le format actuel : en deux ans ou tout en fin de Terminale, sans panachage possible.

Par ailleurs, le contrôle continu ne saurait être accordé aux lycées hors-contrat qui le souhaiteraient. De plus, il n’a pas été possible d’obtenir que les épreuves ponctuelles soient désignées comme telles sur Parcoursup et sur les relevés de notes du bac. Le bénéfice du « contrôle continu » nous est refusé, mais son nom nous reste imposé !

Pour finir, nous avons constaté que les écoles indépendantes sont une réalité connue et prise en compte. Nous nous en félicitons mais ne voulons pas en rester là. Nous souhaitons obtenir une véritable reconnaissance.

-Communiqué de presse-

Le 11 octobre 2022

 

Plus de 1000 personnes ont participé au salon de la Liberté Pédagogique (Libsco), organisé par la Fondation pour l’école, le samedi 8 octobre, à Paris et en ligne.

Ce salon annuel a pour objectif principal de valoriser des initiatives pédagogiques pertinentes repérées sur le terrain, notamment dans les écoles indépendantes (privées hors-contrat) dont il est la principale vitrine.

Au cours de cette journée, sur le thème de l’apprentissage des savoirs fondamentaux, les visiteurs ont pu assister à 33 ateliers et 3 tables rondes. Une partie de la programmation était retransmise en ligne sur le site libsco.fr.

La surface, agrandie de 20% par rapport à l’édition précédente, a permis des échanges de grande qualité entre exposants et visiteurs.  Par ailleurs, un carrefour de rencontres a permis de réunir plus de 50 directeurs et créateurs d’école indépendante avec des temps forts tout au long de la journée.

Maisons d’édition, cours en ligne, soutien scolaire, instituts de formation, supports pédagogiques, etc… au total 43 exposants dont 15 écoles indépendantes représentaient la diversité du paysage éducatif français.

Ce salon, qui est un des rares événements où tous les acteurs de l’éducation se retrouvent pour s’informer, dialoguer, échanger sur leurs pratiques et se former, prouve qu’il est encore possible de rénover notre école par le terrain et qu’il existe des solutions très concrètes au défi actuel de l’instruction.

Parce que notre mission d’utilité publique ne s’arrête jamais, les préparatifs de la prochaine édition, qui aura lieu au printemps 2024, ont déjà commencé.

 

Contact presse : 

Anne-Françoise de Saint-Albin

[email protected]

06.03.89.34.68

L’enseignement des savoirs fondamentaux : faire confiance aux enseignants pour améliorer leurs pratiques et innover avec succès.

 

La place des enseignants dans l’apprentissage des savoirs fondamentaux.

La réussite scolaire de chaque enfant est conditionnée par sa maîtrise des savoirs fondamentaux : lire, écrire et compter. Cet objectif prioritaire de l’éducation doit émerger dès la maternelle pour perdurer en école élémentaire. En effet, l’apprentissage des savoirs fondamentaux est capital dès la maternelle, pour assurer la suite de l’éducation et limiter les risques de décrochage scolaire. Pour permettre cet enseignement dès la maternelle et garantir la continuité avec l’école élémentaire, l’investissement pédagogique et humain des enseignants est déterminant.

Le rôle décisif de l’enseignant au sein des écoles indépendantes.

Les écoles alternatives partagent toutes le même objectif : aider chaque enfant à développer tout son potentiel. Au sein de ces établissements, l’enseignant joue un rôle prépondérant dans l’éducation des enfants. Chargé de mener leur processus d’apprentissage, il est aussi garant de leur initiation aux savoirs fondamentaux.

Dans les écoles indépendantes, les enseignants accompagnent les élèves de la meilleure des manières : c’est-à-dire celle qui correspond spécifiquement aux besoins de chacun d’entre eux. Grâce à une pédagogie douce, qui s’adapte à l’enfant et ses capacités, l’enseignant lui transmet le goût d’apprendre. Chaque enfant ayant un rythme d’apprentissage différent, les enseignants des pédagogies alternatives sont formés à les encourager et respecter leur évolution, plutôt que de les brider ou les brusquer.

Pour pouvoir être aidé, l’enfant a besoin que son enseignant comprenne ses préoccupations. Grâce à un accompagnement bienveillant et une écoute attentive, ils créent ensemble une relation de confiance, donnant lieu à un cadre plus apte à l’apprentissage.

Comment former et faire évoluer nos enseignants  ?

La réussite scolaire des élèves, qu’ils soient dans une école indépendante ou une école dite « du système classique », passe donc par la qualité du travail de leur enseignant, et ce dès la maternelle. L’importance de la formation des enseignants est donc capitale, au cours de leurs études, mais aussi tout au long de leur carrière.

A l’heure où de nombreux enseignants souffrent dans l’exercice de leurs fonctions et manquent de formation, l’enjeu majeur est de leur redonner espoir et confiance dans leur métier :  en les accompagnant dans leurs méthodes d’enseignement et en leur donnant la possibilité et la liberté d’innover, créer, pour un système éducatif de qualité.  

Pour former les enseignants, la Fondation pour l’école a créé son propre institut : l’Institut Libre de Formation des Maîtres, qui enseigne 70 modules de formations.

Reconnue d’utilité publique, la Fondation pour l’école œuvre pour que chaque enfant puisse accéder à une école lui permettant de développer toutes ses capacités. Elle soutient les innovations pédagogiques qui renforcent l’efficacité du système éducatif.

Parmi ses actions en faveur de la liberté scolaire, la Fondation organise chaque année le salon LIBSCO – le salon de l’innovation pédagogique. Cette journée, qui a lieu le 8 octobre 2022 – de 09h à 18h –  à l’espace Charenton à Paris et en distanciel, s’adresse à tous les parents et professionnels de l’éducation. Cette année, le thème du salon est « L’enseignement des savoirs fondamentaux : quelles méthodes et quelles pédagogies pour aider les enfants à apprendre à lire, écrire, compter et s’exprimer ? ».

Le Salon est gratuit et accessible à tous ! 

Vous vous intéressez aux initiatives des acteurs de l’éducation ? N’hésitez pas à venir vous inspirer et nous rencontrer à l’occasion de cet événement.

Je réserve mon billet Libsco 2022

« HISTOROCK, l’Histoire de France » 

Grand concert « Historock l’Histoire de France » à l’Ecole Militaire de Paris (75007) samedi 24 septembre 18h, pour célébrer et transmettre notre Histoire de France à tous et notamment à nos enfants. 
Un spectacle musical en 19 tableaux, des cathédrales au général de Gaulle, en passant par Saint Louis, Jeanne d’Arc, Louis XIV ! 
« Montjoie Saint-Denis ! Ralliez-vous à la laïcité, Nec pluribus impar ! Front Pop Pop Populaire ! », un voyage musical à travers le temps et l’Histoire  mêlant rock, pop, rap, classique, R’nb, sons, lumières, projection des grands tableaux des peintures d’histoire, qui vous enchanteront.
L’Histoire de France ne s’apprend pas par cœur, elle s’apprend par le cœur….
« L’Histoire de France l’opéra rock » fait aimer la France à tous les jeunes quelles que soient leurs origines et facilite leur intégration en leur permettant d’acquérir les bases d’une culture générale qui leur fait défaut.
La Fondation pour l’école a permis à ce beau projet de voir le jour. 

Pour réserver vos places : 
Adultes 24€ au guichet (- de 18 ans et étudiants 11€)

 

 

Communiqué de presse

Le 30 août 2022

Michel Valadier, nouveau directeur général de la Fondation pour l’école

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Le Conseil d’administration de la Fondation pour l’école a nommé Michel Valadier, fondateur et ancien directeur du Groupe scolaire Saint-Dominique du Pecq, comme nouveau directeur général de la Fondation pour l’école.

Son prédécesseur Jean-Baptiste Dupuis a quitté ses fonctions. Hervé Rolland, Président de la Fondation pour l’école le remercie « pour son action au service des écoles indépendantes. Sous son autorité, l’équipe de la Fondation a été renforcée, les liens avec les fondations abritées consolidés et les divers processus remis à jour. »

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Le 30 août 2022

Communiqué de presse 

120 nouvelles écoles à la rentrée 2022 :
une croissance affirmée !

 

Accédez au dossier complet : communiqué, infographies et liste des écoles en cliquant ici

 

Cette année a encore été très créative : de nouvelles écoles, toutes différentes et toujours plus nombreuses, ont vu le jour cette année, portant à plus de 2500 le nombre d’écoles indépendantes en France. L’ampleur de ce mouvement trouve sans doute une de ses causes dans la loi du 24 août 2021 confortant les principes de la République (dite loi contre les séparatismes).

 

Cette loi a en effet porté un grand coup à l’Instruction en famille (IEF) puisqu’elle a supprimé le régime de déclaration pour le remplacer par un régime d’autorisation. Dorénavant, l’instruction en famille n’est plus une liberté mais une possibilité accordée avec parcimonie aux parents.

À compter de cette année scolaire, l’IEF peut être autorisée pour 4 motifs bien spécifiés : raisons de santé/handicap ; activités sportives ou artistiques intensives ; itinérance ou éloignement ; situation propre. Ce dernier cas est apprécié de manière très stricte par l’Administration. On constate en effet que la grande majorité des demandes s’appuyant sur ce motif est rejetée. 

Ne pouvant instruire leurs enfants avec leurs propres méthodes et programmes, les parents éconduits se tournent alors naturellement vers les écoles indépendantes : soit en y scolarisant leurs enfants, soit en créant une nouvelle école pour compléter le paysage déjà bien riche des écoles indépendantes.

 

Plus de 120 nouvelles écoles ont vu le jour en 2022, venant encore enrichir le paysage éducatif français, apportant une réponse adaptée à la variété des besoins éducatifs des enfants et proposant aux parents des alternatives et des options complémentaires de celles de l’Éducation Nationale.

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Quel système scolaire pour les enfants atteints de troubles de l’apprentissage ?

Par troubles de l’apprentissage, on regroupe notamment les DYS (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysorthographie, dysphasie), les TDA/H (troubles déficitaires de l’attention avec ou sans hyperactivité), ainsi que la phobie scolaire.

Les enfants atteints de troubles de l’apprentissage se trouvent souvent en difficulté scolaire dans les écoles du système traditionnel, à cause d’un rythme et de méthodes non adaptés. Pour les aider à retrouver confiance en eux et pour qu’ils puissent progresser à leur rythme, les écoles alternatives leur offrent un accueil spécifique afin de prendre en compte leurs particularités.

Constats et conséquences des lacunes du système scolaire traditionnel

Les résultats sont frappants et les troubles de l’apprentissage touchent plus d’élèves qu’on ne pourrait l’imaginer :

  • 6 à 8 % d’enfants sont atteints de DYS par classe d’âge en France, soit 2 élèves par classe en moyenne
  • 3,5 à 5,6 % des enfants scolarisés souffrent de TDA/H, soit 2 élèves par classe
  • 3 à 5 % d’enfants scolarisés souffrent de phobie scolaire ou de refus scolaire anxieux, soit 1 élève pour 2 classes

Ces élèves souffrent de voir leurs efforts plus difficilement récompensés. Découragés face à un système scolaire inadapté et une méthode d’apprentissage qui ne leur correspond pas, ils endurent angoisses, fatigue et souffrance psychologique, pouvant mener au décrochage scolaire.

De plus, les troubles de l’apprentissage sont souvent abordés négativement par les familles, les enseignants et les élèves eux-mêmes. On se focalise sur les difficultés d’apprentissage de l’enfant, plutôt que sur ses forces et capacités.

Pour répondre à ces problématiques, l’Éducation nationale propose des dispositifs pour accompagner les enfants touchés par ces difficultés scolaires. Mais le Plan d’Accompagnement Personnalisé (PAP), et les stages de réussite et de remise à niveau demeurent des mesures insuffisantes.

Les modes d’instruction ont donc besoin d’être plus inclusifs pour les élèves touchés par des troubles de l’apprentissage.

La nécessité d’un accompagnement spécifique

Les difficultés auxquelles doivent faire face ces enfants leur demandent de fournir plus d’efforts, d’attention, de concentration et provoquent donc plus de fatigue. Pour cette raison, ils ont besoin d’un rythme adapté.

Pour apprendre à leur rythme, ces enfants apprécient une adaptation et des dispositifs adéquats : outils scolaires, ordinateurs, supports visuels, objets de manipulation, etc. En leur accordant par ailleurs le temps nécessaire, ils se sentent accompagnés, rassurés et valorisés.

N’oublions pas que ces enfants ont aussi des capacités plus développées que d’autres. Par exemple, les enfants atteints de TDA/H ont en général des capacités physiques plus évoluées, un esprit créatif et rapide et une sensibilité exceptionnelle. Pour les aider à développer leur potentiel, ils ont également besoin d’un accompagnement spécifique.

L’objectif pour ces enfants est donc de retrouver confiance en l’école et le goût de l’apprentissage.

Les écoles alternatives : des structures plus adaptées

Les écoles alternatives et indépendantes représentent une solution de choix pour les élèves atteints de troubles de l’apprentissage. Grâce à des classes à petits effectifs et des aménagements matériels et pédagogiques, les encadrants peuvent s’adapter au rythme de chaque enfant. La variété des pédagogies et l’attention particulière portée aux fondamentaux – lire, écrire, compter – leur permettent de progresser et de combler leurs lacunes.

Ces écoles représentent un véritable refuge pour les élèves atteints de troubles de l’apprentissage, de handicaps ou victimes d’un parcours phobique ou de harcèlement. Les encadrants, en étroite relation avec les parents des élèves, les aident à retrouver confiance et estime de soi.

Reconnue d’utilité publique, la Fondation pour l’école œuvre au développement de ces structures.

Soutenez les écoles indépendantes !

Le handicap à l’école : un constat en demi-teinte

L’école inclusive est une volonté affichée et le droit à l’instruction pour tous les enfants un droit fondamental, qu’ils soient ou non en situation de handicap. Parmi les enfants en situation de handicap, trop peu bénéficient d’un accompagnement et d’un enseignement adaptés à leurs besoins spécifiques. Certains n’ont même tout simplement pas la possibilité d’être scolarisés en milieu ordinaire. Quel constat dresser ? Quelles en sont les causes ? Quelles sont les alternatives ? La Fondation pour l’école fait le point.

 

 

 

Handicap et scolarité : un bilan en trompe-l’œil

Si le système éducatif est sensé avoir intégré depuis la loi n°2005-102, du 11 février 2005, tous les enfants en situation de handicap pour mettre fin à l’exclusion dont ils étaient victimes, le système montre ses limites et les données chiffrées ont de quoi faire pâlir.

Malgré les efforts faits par le système éducatif, chaque année, 11 000 à 13 000 enfants handicapés n’ont aucune solution de scolarisation, même partielle.

De par leur nombre, ce sont logiquement les écoles publiques qui accueillent majoritairement les enfants en situation de handicap, qu’il soit mental, moteur ou psychique. Le primaire est plus largement concerné. La cause en est très simple : le système devient de moins en moins inclusif à mesure que l’enfant grandit :

  • Si à 6 ans, 95 % des enfants handicapés sont scolarisés en milieu ordinaire, ils ne sont plus que 63 % à 10 ans ;
  • La rupture s’accélère encore entre le collège et le lycée : en 2018/2019, 105 000 collégiens bénéficiaient d’un Plan personnalisé de scolarité (PPS), contre 34 000 lycéens ;
  • En études supérieures, seulement 1 % des inscrits sont en situation de handicap.

À terme, ce sont 50 % des élèves handicapés qui sortent du système scolaire sans diplôme ou qui ne seront titulaires que du diplôme national du brevet (DNB). Pour comparaison, cette proportion est d’environ 25 % dans la population générale.

Comble de la sanction pour ces élèves, 35 % d’entre eux sont harcelés, avec les conséquences que cela entraîne.

Les causes d’une inclusion qui prend la forme d’une exclusion

Scolariser un enfant en situation de handicap en milieu ordinaire induit que ses besoins spécifiques soient pris en compte. Les apprentissages doivent donc être différenciés et adaptés. Or, presque 1 enseignant sur 4 (23 %) intervenant auprès d’élèves en situation de handicap physique, moteur ou psychique en milieu scolaire ordinaire n’a pas été formé.

Pire même, à la rentrée 2019, 20 000 à 25 000 élèves (soit 1 enfant sur 10) en situation de handicap n’avaient pas d’AESH. Cette situation sonne le glas d’une réelle inclusion pour ces élèves et leurs parents qui ont besoin d’un accompagnement.

Le handicap et la scolarité dans les écoles indépendantes à pédagogie alternative

S’adapter à l’enfant et non l’inverse, c’est la base des pédagogies alternatives. Tous les enfants ont des besoins éducatifs différents, les enfants en situation de handicap ne sont donc pas une exception lorsque l’on construit une offre pédagogique diverse et innovante.

Petits effectifs et adaptabilité au rythme de travail, réelle prise en compte des troubles de l’apprentissage liés au(x) handicap(s), variété pédagogique, refuge après un épisode douloureux en milieu scolaire ordinaire, étroite collaboration entre l’école et les parents, les écoles indépendantes répondent par essence aux besoins particuliers des élèves en situation de handicap, favorisant l’inclusion de tous.

La mission de la Fondation pour l’école, fondation reconnue d’utilité publique, est d’œuvrer depuis bientôt 15 ans au développement de ces écoles, pour que la scolarité soit l’affaire de tous et assure l’instruction et le bien-être de tous les enfants, porteurs d’un handicap ou non.

Soutenez les écoles indépendantes !

 

A l’occasion du comité des dons de la Fondation pour l’école en juillet 2022, 21 écoles indépendantes se sont vu remettre une subvention afin d’être accompagnées dans leur développement.  

Le montant des subventions allouées est de 205 K€, tout cela grâce à la mobilisation des bienfaiteurs de la Fondation pour l’école.  

L’espoir que le renouveau éducatif puisse franchir un cap au bénéfice de milliers d’enfants est réel.

Ces écoles ont une seule mission : emmener chaque élève au plus loin de ses talents, et la Fondation les accompagne. Bravo à elles qui se mobilisent pour empêcher la chute de l’instruction :

Ecole et Collège Saint Joseph (01) , Les Sarments (11), Saint Anselme (25),  Saint Joseph l’espérance (27), Saint-Pierre (30), Ein Gedi (33), Saint Fort (33), Philibert Vrau (36), Saint Michel (36), Saint Jean Paul II (44), Le Renard et la Rose (45), Ecole de la Sainte Famille (50), Les petites Brindilles (57), Sainte Bénilde (63), Saint Dominique Savio (69), Anne de Guigné (74), Saint Joseph des Lys (78), Saint Dominique (78), Saint Martial (87), Lycée Hautefeuille (92), Saint François d’Assise (92). 

Les écoles indépendantes sont essentielles pour l’avenir de l’éducation, faisons en sorte de les aider. 

 

 


D’autres exemples concrets ?

Comité de mai 2022

Comité de mars 2022

Comité de décembre 2021

Comité de la Rentrée 2021

Comité de Juillet 2021

Comité exceptionnel de Juin 2021

Comité de mars 2021

Comité des dons de janvier 2021

Comité des dons d’octobre 2020

Comité des dons de juillet 2020

18 écoles associatives ont pu recevoir une subvention à l’occasion du comité des dons de la Fondation pour l’école en mai 2022.

Agrandissements, matériels pédagogiques, nouvelles classes ou nouveaux espaces de vies … autant de projets différents soutenus grâce à la générosité des bienfaiteurs de la Fondation pour l’école.

Entièrement privée, la Fondation ne peut rien seule. Au total, ce sont 162 K€ qui ont pu leur être distribués à l’occasion de ce comité des dons.  

2 écoles adaptées, 9 écoles innovantes, et 7 écoles classiques ;  Ces établissements scolaires, tous sous gestion associative, mettent en place leurs projets pédagogiques du primaire au secondaire, afin de répondre toujours mieux aux besoins éducatifs des enfants : La Providence (11), Que la joie demeure (26), La Marelle (31), L’Envol des Papillons (33), Ker Anna et Joachim (35), Holiskol (35), Sainte-Anne (42), Saint Thomas d’Aquin (56), Bihotza (64), Les Sarments – cours Charles le Grand (66), Parenthèse (67), Ecole du ciel (68), Nazareth (69), Cours Saint-Martin (72), la Petite école du bon pasteur (75), Bienheureux Charles de Foucauld (78), L’espérance (95), Montetibou (54). 

Ne relâchons pas nos efforts, ces écoles et tant d’autres ont besoin de nous.

 


D’autres exemples concrets ?

Comité de mars 2022

Comité de décembre 2021

Comité de la rentrée 2021

Comité de Juillet 2021

Comité exceptionnel de Juin 2021

Comité de mars 2021

Comité des dons de janvier 2021

Comité des dons d’octobre 2020

Comité des dons de juillet 2020