
Communiqué de presse
Lundi 23 novembre 2020
La Fondation pour l’école répond aux attaques
de Politis, Basta! et Libération.
(Télécharger le communiqué de presse)
La Fondation pour l’école a pris connaissance avec un vif étonnement du contenu gravement erroné et infâmant du dossier Fondation d’utilité très privée : enquête sur un réseau de financement d’écoles traditionalistes catholiques publié par les revues Politis (numéro 1628 du 19 novembre 2020) et Basta!, et repris le 20 novembre 2020 par le quotidien Libération.
La Fondation pour l’école a déjà connu récemment de telles attaques, qui mêlent assertions tendancieuses, données incomplètes et inexactes, citations curieusement anonymes et annonce de procédures judicaires, dont ni l’entité, ni ses dirigeants ni les personnes prétendument concernées n’ont connaissance.
Contactée par la revue Politis le jeudi 12 novembre 2020 et comme sommée de répondre, pour le lundi suivant, à une salve de questions dont la nature et les présupposés démontraient une orientation proche de la volonté de nuire, la Fondation pour l’école n’avait fait que renvoyer à ses communiqués précédents, les éléments publiés cette semaine ayant été pour la quasi-totalité déjà éclairés et démentis ces derniers mois.
Ceci établi, il convient en premier lieu de remarquer que les auteurs de ces attaques passent volontairement sous silence l’essentiel de l’activité de la Fondation : le soutien immatériel apporté à toutes les écoles indépendantes qui en font la demande, sans aucune distinction et cela bien au-delà du cas des écoles confessionnelles :
- Formations à la création et à la gestion d’établissements indépendants (dont plus de 80% sont non confessionnels) et à la direction d’école (dont plus de 50% sont non confessionnelles) avec en moyenne 50 projets par an ;
- Service juridique gratuit (360 écoles soutenues l’année dernière, dont plus des ¾ sont non confessionnelles) ;
- Formation des professeurs (238 formés l’année dernière) ;
- Diffusion et formation au processus de la Qualité dans les écoles ;
- Organisation d’événements et de conférences grand public (salon Libsco, colloque sur le numérique, etc).
Ces “omissions”, qui occupent la majeure partie du temps de ses équipes, auraient pourtant pu donner aux lecteurs une juste vision des activités de la Fondation pour l’école. Ces omissions sont évidemment nécessaires pour tenter d’atteindre le but réel de cet article.